Pocognoli explique pourquoi Anouar Aït El Hadj réussit à l'Union après avoir échoué à Anderlecht et Genk

Pocognoli explique pourquoi Anouar Aït El Hadj réussit à l'Union après avoir échoué à Anderlecht et Genk
Photo: © photonews

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Anouar Aït El Hadj a marqué face à son club formateur, et ne s'est pas privé de fêter ça avec ses supporters. Et tant pis si ça brise le coeur aux Mauves.

Anouar Aït El Hadj et Noah Sadiki fêtant leur victoire drapeau de l'Union en main après que le premier ait marqué le 2-0 : ces images ont brisé le coeur de tous les supporters du RSC Anderlecht. "Marquer contre Anderlecht, c'est spécial, et j'ai fêté mon but avec fierté. Même si j'ai beaucoup de respect pour le club qui m'a formé", affirme-t-il après la rencontre. 

Selon ses mots : "un derby, ça se gagne". Et c'est bien son pragmatisme et son efficacité qui changent par rapport au Aït El Hadj qu'on a pu voir à Anderlecht et même à Genk. Sébastien Pocognoli a expliqué ce qu'il avait adopté comme approche pour changer les choses. 

"Anouar a énormément de qualités techniques. Mais il lui manquait une éthique de travail au quotidien. À l'Union, on demande d'autres choses qu'à Anderlecht. On a essayé de corriger certaines choses comme son impact, son intensité, son engagement", révèle l'entraîneur de l'USG. 

Bref : de jeune chien fou et talentueux, Anouar Aït El Hadj est devenu un vrai joueur de football, bosseur et appliqué. "Il allie talent et travail acharné et ça ne peut que le rendre meilleur", résume Pocognoli après la victoire. 

Du côté d'Anderlecht, voir des jeunes formés à Neerpede s'épanouir d'une telle façon chez le voisin (car n'oublions pas que même... Alessio Castro-Montes est passé par le centre de formation du Sporting) ne peut qu'amener des regrets... et rappeler que les spirales des deux clubs sont totalement inverses. 

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